24^e GRDI (Type normal).
22^e DI - Général Hassler

CMC : Pontivy

• E-M et Peloton de Commandement : Lieutenant-Colonel de Geyer d’Orth
• Adjoint : Lieutenant de Beaulieu, Lieutenant de Padirac (mai 40)
• EHR : Capitaine Nouvel de la Flèche
• Escadron Hippo : Capitaine de Certaines
• Escadron Moto : Lieutenant de Vaurex
• Escadron Mitrailleuses et Canons de 25 : Capitaine Berruyer

• Formé à Pontivy (2 septembre 1939)
• Quitte Pontivy le 13 septembre 1939) et est mis à la disposition de la 1^ere DINA (Général Libaud), III^e CA Tient les A.P à Ritzing
• (Moselle) du 2 novembre 1939 au 27 novembre 1939
• Remis à la disposition de la 23^e DI est en position à la frontière Luxembourgoise à Puttelange (Jusqu’au 24 décembre 1939)
• En ligne de recueil devant la ligne Maginot à Sainte-Marguerite (du 28 décembre 1939 au 18 février 1940)
• En position à Givet (jusqu’au 10 mai 1940). Pénètre en Belgique en direction de Beauraing (Groupement des 17^e GRCA, 24^e GRDI et 30^e GRDI) (10 mai 1940)
• Se replie en combattant et assure la défense des ponts de Givet (Ardennes) et du Bac au Prince (Belgique (13 mai 1940)
• Ayant perdu l’Escadron à cheval, assure l’action retardatrice avec l’Escadron moto, tandis que l’Escadron mitrailleuses et de canons s’oppose à l’avance ennemie à la passe d’Anor (16 mai 1940)
• Réduit à l’Escadron moto, retraite en combattant sur Arras et rejoint à Meru les restes de la 22^e DI
• Le 24^e GRDI dissous, l’Escadron moto est transformé en groupe volant dénommé 123^e GRDI, rattaché à la 236^e DLI (fin mai 1940)
• Défend la Seine d’Elbeuf (8 juin 1940)
• Couvre le repli de la 236^e DLI sur Sées (Orne) (13 au 17 juin 1940)
• Dissous le 31 juin 1940

• Bois de Ritzing (Moselle), 2 au 27 novembre 1939
• Bois de Scheidt (Moselle)
• Ravin de Manderen (Moselle)
• Givet (Ardennes) et Bac au Prince (Belgique)

"Le 8 novembre 1939, le 3^e Peloton de l'Escadron de Fusiliers Motocyclistes, à l’effectif de 17 Cavaliers, sous le commandement de son chef, le Lieutenant Picaud, en surveillance à la lisière Nord du bois de Ritzing, sur un front d’un kilomètre, est attaqué, puis encerclé par une forte compagnie allemande. Isolé et loin de tout secours, il combat âprement pendant trois heures et demie de nuit. L’ennemi qui a subi des pertes, renonce à la lutte et bat en retraite, n’ayant pu obtenir le moindre avantage."